Le centre d’études et d’analyse ( CEA) de l’IPAG de Brest, animé par Jacques Serba, directeur adjoint de l’IPAG, a pour objectifs:
- d’organiser des cycles de conférences destinées aux étudiant.e.s de l’IPAG et pouvant être élargies à d’autres publics
- d’organiser des colloques, ateliers, journées d’études et rencontres
- de publier des travaux, articles , études et contributions des membres du CEA, des invités et des partenaires extérieurs
(Les travaux, articles, études et contributions n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs et non celle de l’IPAG et de l’UBO)
Hansjörg Drewello est professeur invite à l’IPAG et il enseigne à la Hochschule de Kehl.
Les publications suivantes sont des documents au format pdf.
Towards a Theory of Local Energy Transition
Drewello, Hansjörg. 2022. “Towards a Theory of Local Energy Transition” Sustainability 14, n°. 18: 11119.
The intended transition to a low-carbon energy system presents a systemic challenge for every country. The focus of this article is on local energy transition, a decentralized approach in which local municipalities will play a key role. The main question in this article is which determinants support the process towards local energy transition. Therefore, an analytic framework is presented. The three-levels-model is a holistic approach which focuses on determinants considering local context, a macro, and a micro framework. It highlights the dependency of the process from the local context and a sound national transition policy. The model summarizes the complex interrelationships of local energy transition and will enable local communities, networks, and citizens to successfully engage in an energy transition process.
La Transition Énergétique Locale – Faisons agir les communes contre le changement climatique !
Le diaporama sur la transition énergétique du professeur H. Drewello.
Doyen de la Faculté de Droit, Economie-Gestion et AES, Mickaël Lavaine est maître de conférences en droit public à l’Université de Bretagne occidentale. Il y dirige le master de Droit public approfondi. Il enseigne notamment les institutions administratives, le droit administratif et la science administrative. Auteur de plusieurs ouvrages et articles, il publie régulièrement dans les différentes revues de référence en droit public.
Les publications suivantes sont des articles de presse au format pdf
« Le recul de l’Etat n’existe pas », l’action publique se transforme (23/09/2020)
par Mickaël Lavaine, tribune le Monde
Le juriste Mickaël Lavaine affirme, dans une tribune au « Monde », la nécessité de dépasser l’opposition traditionnelle entre Etat et marché, pour s’intéresser à l’imbrication de plus en plus opaque entre ces deux formes de gouvernance économique
Les lois du marché sont politiques (15 avril 2020)
par Mickaël Lavaine, tribune Libération
Les Etats ont pu, en quelques jours de crise sanitaire, fermer les frontières, bloquer les prix, revoir le droit du travail, évoquer des nationalisations : se rappeler que l’économie est un attribut de la souveraineté. Ce réveil étatique est présenté comme un état d’exception, pourtant, ce que l’Etat peut faire aujourd’hui, il pourra le faire demain.
Festivals. Les factures trop salées des forces de l’ordre (5/02/2019)
par Mickaël Lavaine, entretien Le Télégramme
Depuis quelques années, les organisateurs de grands événements se voient facturer de lourds frais d’indemnisation des forces de l’ordre qui interviennent sur et aux abords de ces rendez-vous festifs et sportifs. Des pratiques souvent jugées illégales au regard de la loi, fait remarquer Mickaël Lavaine, maître de conférences en droit public à l’UBO (*).
Mickaël Lavaine, maître de conférences en droit public à l’Université de Bretagne occidentale, s’est penché sur la légalité des frais d’indemnisation des forces de l’ordre demandé aux organisateurs de manifestations festives et sportives.
Les mécanismes de localisation et de mécénat sont-ils en phase ? | Mai 2023
Analyse géopolitique par Jacques Serba
Dans cette analyse publié sur le site de l'IRIS, le 12 mai 2023, Jacques Serba, ancien président d’Action contre la faim, chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris) explique que dans les débats qui traversent le acteurs de la solidarité internationale, l’on trouve les sujets de financement et de localisation de l’aide humanitaire. Ces deux sujets sont intrinsèquement liés. Ils ne se limitent pas aux subventions publiques. Ils concernent également le mécénat.
|LS|Tribune|RS| Séismes en Turquie et Syrie : des modalités d’intervention différentes (3 mars 2023).
Par Jacques Serba
Dans cette tribune publié sur le Télégramme le 3 mars 2023, Jacques Serba, ancien président d’Action contre la faim, chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris) explique le rôle primordiale et la force des organisations humanitaires dans les actions de secours
Aide humanitaire : « Le consensus européen à l’épreuve de la guerre en Ukraine »»(13/06/2022).
Par Jacques Serba
Dans cette tribune publié sur le Télégramme le 13 juin 2022, Jacques Serba, livre son regard sur l’aide humanitaire en Ukraine et le risque de fissure du consensus européen sur le sujet.
Santé mentale et malnutrition infantile : Renforcer les synergies entre les acteurs. (24/01/2022).
Par Jacques Serba
Depuis la crise de Covid-19, la place octroyée à la santé mentale est en plein essor dans les programmes de solidarité internationale, sauf dans le domaine de la nutrition, en particulier dans celui de la malnutrition infantile. La démarche n’est pas encore systématiquement intégrée alors que chacun s’attache à dire qu’elle est indispensable au traitement de la malnutrition. Il s’agit là d’un regrettable paradoxe pour Ariane Bailleux, diplômée de la formation Manager de programmes internationaux – Humanitaire et développement, interrogée par Jacques Serba, directeur adjoint de l’IPAG de Brest, chercheur associé à l’IRIS et enseignant à IRIS Sup’. Ariane Bailleux a consacré son mémoire de recherche à la dimension psychosociale des protocoles de lutte contre la malnutrition infantile.
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Un Forum humanitaire de plus ?
Par Jacques Serba - Le Télégramme
Du 24 au 26 janvier se tiendra à Bruxelles le Forum humanitaire européen. Il s’agit d’un nouveau rendez-vous sur la question humanitaire, organisé par la Commission européenne et la présidence française du Conseil de l’Union européenne. Le Forum a notamment pour objectif « d’identifier des solutions d’avenir et (…) améliorer les actions...
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Tensions dans le cyberespace humanitaire à propos des logos et des emblèmes
Par Jacques Serba - IRIS
Par Jacques Serba
La violence internationale : un changement de paradigme
par Pierrick LE JEUNE
La violencia internacional: un cambio de paradigma
Dr. Pierrick LE JEUNE
Traductora: Avril Eliosa Minor
PAYS DE BREST : COOPERER VOLONTAIREMENT AU SERVICE DU TERRITOIRE
Par Thierry Cann
Directeur du Pôle métropolitain du Pays de Brest, ingénieur agronome, auditeur IHEDATE, intervenant à l’Université
Le Pays de Brest réunit sept intercommunalités et couvre un territoire de 420 000 habitants et 103 communes. Les intercommunalités réunissent des communes et possèdent un statut différent en fonction de leur nombre d’habitants. C’est ainsi qu’il existe des communautés de communes, des agglomérations et des métropoles dont les compétences varient peu.
Ces intercommunalités existent pour la plupart depuis environ 30 ans et ont vu leurs compétences s’accroître au détriment des communes. Ces dernières années, ce fut le cas pour les compétences mobilités, urbanisme, eau, assainissement, tourisme…
Cependant, la commune reste le lieu de proximité, connu et reconnu par les habitants.
Dans ce contexte institutionnel, des intercommunalités décident de se fédérer. Elles considèrent qu’elles ont des intérêts communs à porter certains dossiers car c’est le bon périmètre et qu’il existe une véritable valeur ajoutée à le faire à plusieurs plutôt que seul. C’est ainsi qu’est né dans le Pays de Brest le projet du cluster Algues
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Les organisations internationales : ces leviers sous-utilisés de la diplomatie d’influence française
Par Magali Chelpi-den Hamer
Note disponible sur le site de l'IRIS
Une stratégie d’influence à l’international se construit et s’entretient en utilisant plusieurs points d’entrée. Cela inclut des mécanismes d’aide bilatérale, qui se construisent via du support budgétaire et une politique contextualisée de gestion de dette et de don, et des mécanismes d’aide multilatérale, qui sont dépendants d’institutions intermédiaires sur lesquelles la France n’est pas le seul acteur engagé. Dès lors, des équilibres sont à trouver, et se posent les questions épineuses du degré de contrôle et d’efficacité du canal multilatéral pour faire avancer les priorités stratégiques françaises .
Si jusqu’au Comité interministériel de la coopération internationale et du développement (CICID) de février 2018, l’aide publique au développement (APD) française était plutôt sur le déclin, une dynamique de reprise de contrôle du levier financier de l’aide essaie d’émerger depuis quelques années, accompagnée concrètement par une revue à la hausse des moyens qui sont comptabilisés au titre de l’APD. Un rééquilibrage en faveur de l’aide bilatérale est en cours du côté français, et il est intéressant de noter qu’il ne se fait pas au détriment des canaux multilatéraux.
Cette note présentera succinctement les enjeux actuels de l’engagement français au sein des organisations internationales (OI), tout en mettant en perspective l’utilisation des leviers financiers par les autres pays au sein des principales récipiendaires d’aide.
« LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES : CES LEVIERS SOUS-UTILISÉS DE LA DIPLOMATIE D'INFLUENCE FRANÇAISE »
- par Magali Chelpi-den Hamer
Le vendredi 21 janvier 2022
Magali Chelpi-den Hamer est chercheuse à l’IRIS, responsable du Programme humanitaire et développement. Ses travaux portent sur les questions d’aide internationale, sur la résilience des systèmes éducatifs en situation de crise, et sur les conflits armés en Afrique sub-saharienne.
Mme Chelpi-den Hamer a travaillé comme coordinatrice des programmes dans plusieurs associations humanitaires, sur des terrains principalement africains et en situation de conflit armé.
Magali Chelpi-den Hamer est titulaire d’un doctorat en Anthropologie sociale de l’EHESS et d’un PhD en Sciences sociales de l’Université d’Amsterdam.